Politiques intérieures (Ex GJ)

  • mais du coup c'est une appli qu'on est censé avoir ? (je check plus trop la télé en ce moment)

    parce que si c'est le cas tu l'installe pas et ça règle le problème ('fin "ça règle rien du tout en soi puisque ce genre de "pistage" est déjà faisable)

    Ce ne sera pas disponible le 11 mai déjà. C'est très hypothétique, on est plus dans le registre de l'idée soulevée pour s'inspirer de ce qui s'est fait en Asie.

    Je ne vois pas le gouvernement être assez sûr de sa popularité pour l'imposer si l'application voyait vraiment le jour de toute façon, donc ça serait certainement basé sur le volontariat. Mon smartphone est trop naze pour que je l'encombre plus avec leurs conneries, de toute façon.

  • nan mais oui c'est ça qui me tue dans leur connerie c'est que si c'est imposé (j'y crois pas une seconde mais bon on est plus à une bêtise prés) tu fais quoi pour Michel 70 ans avec son bon vieux 3310 indestructible ? :D

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    Quote

    [21:08:13] Naystar: pacifiste sur un jeu de guerre ?
    [21:08:30] Naystar: c'est comme oui oui dans un porno, c'est pas possible



    Chorizo :

    Nop xd
    T es un génie ouai

  • La technologie (nano particules / tatouage quantique) fait que le puçage n'est même plus nécessaire et existe déjà en expérimentation notamment en Inde et au Pakistan via la fondation B&M Gates. Celle-ci est d'ailleurs au cœur d'une polémique importante au sujet de vaccins défectueux (des tests ?) permettant l'identification "sanitaire" des individus.


    Toujours est-il que cela reviens aux clochettes que devaient porter les lépreux ... Après les dames patronnesses et la charité, quel superbe avenir : tout en progrès !

  • en asie, ou? singapour ou corée du sud ,je ne me souviens plus, une appli est sortie sans être obligatoire : résultat, 20% de la population l'a téléchargée. un flop...

    on part sur cette même idée en France, donc flop garanti:D

  • @citation de http://www.numerama.com

    Problème : cette théorie qui semble idéale a montré ses limites à Singapour, premier pays à l’avoir massivement déployée pour éviter un confinement. La population, ultra connectée, a joué le jeu, mais les résultats n’étaient pas là et Singapour a dû lancer un confinement massif. Le principe théorique s’est heurté à la réalité technique : le Bluetooth n’est pas fiable, dépend de son environnement (le signal est modulé par vos poches, votre sac, un mur, etc.) et l’application n’a d’intérêt que si la grande majorité de la population l’utilise.

    Mais Singapour a rencontré un autre problème, vers lequel fonce droit la France : c’est l’impossibilité pour les applications d’utiliser le Bluetooth en arrière-plan. Concrètement, cela signifie que pour qu’elle collecte les identifiants des personnes croisées, l’app doit être ouverte et au premier plan sur le smartphone. Cela vide la batterie et empêche l’utilisation de l’appareil.


    https://www.francetvinfo.fr/sa…er-la-france_3895267.html

    çan'a pas empeché le fait que par la suite ils ont eu plein de contaminations, jpense kil faut coupler ça à d'autres moyens

    _________________


    Depuis le 10 avril le code de l’application est en open source, les développeurs du monde entier peuvent donc accéder gratuitement à ses éléments de base pour créer leur propre version. La France, mais aussi l’Allemagne, le Chili, les États-Unis et la Nouvelle-Zélande s’en sont ainsi servi pour commencer à développer leur propre application nationale.


    ya beaucoup de contestations, j'ai vu passer une info ce matin qui disait que

    > la Belgique avait opté plutot pour les moyens humains (embauche de milliers de personnes pour collecter les infos via un standard téléphonique et ou appeler directement , enfin remonter la piste des contaminés )

    > en Allemagne ils otn fait un rétropédalage sur cette appli, puis après se tournait plutot vers les services de coogle, et pour finir ils vont faire comme la Belgique

    entre coogle c'est pas mieux, c'est meme pire...


    https://www.bastamag.net/stop-…ce-protection-des-donnees

    #SIDActioN-SORTEZ COUVERT-Appel 110 #
    board_og-banni_re_frog.jpg
    OFF: 25 'Eucaryote' / Deimos # Luneuse > Electra / 4 'ThoT-Hecate' / Octans ...

    >>>>Fondo: Vega (51) 'FRoGs' / 60 'ac.' // Wasat (50)

    Rainette cendrée : 138 à 20% - 7 à 40% - 2 à 41% - 4 à 42% (7 à 22% - 5 à 21% - 1 à 9 %) = 164 Moons ::daisy::
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  • C'est pire que quoi ?


    Google récupère tes données, même si tu peux bloquer l'accès un minimum. L'application elle, tu ne peux pas la bloquer. C'est d'ailleurs le conflit principal entre les Gouvernements et Google / Apple, parce que même eux jugent que ces applications sont trop intrusive, c'est dire. Au mieux c'est pareil, au pire, l'application est encore plus collecteuse de données. Faut arrêter de viser Google ou autre là dedans, ils n'y sont pour rien. C'est les gouvernements qui ne veulent pas limiter l'accès de leur programme à sa simple utilisation, parce que bon encore une fois, en quoi avoir accès à tes photos/messages te permet de lutter efficacement contre le covid ? En rien. Mais les gouvernements (en tout cas le gouvernement français) refuse de limiter ses accès là à son programme. C'est un peu comme si on suspendait les 35h en raison du virus alors que ça n'a aucun lien... Oh wait.

  • En fait, le Gouvernement français s'acharne a vouloir créer une application qui est dangereuse pour la sécurité des données des utilisateurs. En soit, peut être qu'ils n'ont pas de mauvaises intentions (jouons là à la confiance) mais leurs incompétences dans le domaine posent de graves soucis de droit de respect de la vie privée. C'est un peu technique mais facilement compréhensible, dans cet article par exemple : https://www.numerama.com/tech/…ise-dans-une-impasse.html

  • Ouais mais j'ai du mal à comprendre à quel moment le gouvernement a affirmé avoir refusé de limiter les accès .... ?



    Sinon Aurore Bergé (LREM) en a encore fait une bonne : Elle va proposer à l'Assemblée une adaptation de la législation pour protéger les maires pénalement et toutes personnes dépositaires d'une mission de service public en lien avec le déconfinement.

  • Tu ne trouveras personne dire qu'ils refusent de limiter les accès mais, en refusant de revenir sur cette politique de développement, ils refusent de limiter les accès aux données des utilisateurs. Ca revient au même. Si je ne te dis pas non mais jamais oui, ça revient à dire non :)


    Pour la dépénalisation des maires, cela se justifie. Les Maires n'ont pas envie de subir les plaintes dû à la mauvaise gestion du Gouvernement.

  • ya pas que le virus :


    JORF n°0107 du 2 mai 2020



    texte n° 1



















    Décret n° 2020-498 du 30 avril 2020 portant publication de l'accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République tunisienne dans le domaine de l'enseignement de la langue arabe à l'école élémentaire en France, signé à Tunis le 31 mars 2017 (1)





    NOR: EAEJ2010282D





    ELI: https://www.legifrance.gouv.fr…/30/EAEJ2010282D/jo/texte



    Alias: https://www.legifrance.gouv.fr…20/4/30/2020-498/jo/texte





    Le Président de la République,

    Sur le rapport du Premier ministre et du ministre de l'Europe et des affaires étrangères,

    Vu la Constitution, notamment ses articles 52 à 55 ;

    Vu le décret n° 53-192 du 14 mars 1953 modifié relatif à la ratification et à la publication des engagements internationaux souscrits par la France,

    Décrète :

    Article 1

    L'accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République tunisienne dans le domaine de l'enseignement de la langue arabe à l'école élémentaire en France, signé à Tunis le 31 mars 2017, sera publié au Journal officiel de la République française.

    Article 2

    Le Premier ministre et le ministre de l'Europe et des affaires étrangères sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

    • Annexe

      ACCORD

      ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE GOUVERNEMENT DE LA RÉPUBLIQUE TUNISIENNE DANS LE DOMAINE DE L'ENSEIGNEMENT DE LA LANGUE ARABE À L'ÉCOLE ÉLÉMENTAIRE EN FRANCE, SIGNÉ À TUNIS LE 31 MARS 2017

      Le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République tunisienne, ci-après dénommés les « Parties »,

      Désireux de resserrer leurs liens d'amitié et d'approfondir leur coopération dans le domaine de l'éducation ;

      Considérant la convention-cadre de coopération entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République tunisienne dans le domaine de l'éducation, signée le 2 décembre 2014 à Tunis, pour le partenariat culturel et le développement entre les deux gouvernements en date du 25 juillet 2003, et en particulier leur volonté de coopérer étroitement en faveur d'une amélioration de la qualité des enseignements ;

      Considérant, pour la France, les objectifs de diversité linguistique dans le premier degré et de continuité dans le second degré portés par la loi n° 2013-595 du 8 juillet 2013 d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école de la République,

      Sont convenus des dispositions suivantes :

      • Chapitre IER : Enseignement de langue arabe Article 1er

        Dans les écoles d'enseignement public en France, il peut être organisé, en coopération avec les autorités tunisiennes, et selon les conditions locales, un enseignement complémentaire de langue étrangère se rapportant à la langue arabe.

        Cet enseignement doit être assuré dans le respect des principes généraux de l'Education nationale française et conformément à la législation française en vigueur.

        Article 2

        Cet enseignement facultatif est accessible à tous les élèves volontaires, en accord avec leur famille et dans la limite des places disponibles, de la classe de cours élémentaire première année à la classe de cours moyen deuxième année.

        Article 3

        Cet enseignement est organisé pendant le temps scolaire en complément des enseignements obligatoires prévus pour tous les élèves par les programmes en vigueur, à raison d'une heure et demie (1,5) par semaine.

        Article 4

        Cet enseignement propose un apprentissage de la langue arabe qui fait référence à la culture arabe, notamment à des éléments de la culture tunisienne. Les contenus de cet enseignement sont adossés au Cadre européen commun de référence pour les langues et visent le niveau Al.

        Article 5

        Les résultats obtenus par les élèves dans le cadre de cet enseignement sont pris en compte dans l'appréciation générale de leur travail scolaire et portés à la connaissance des familles.

        Article 6

        Une continuité des apprentissages sera progressivement et selon les conditions locales, assurée au collège. Cette continuité est prise en charge par les professeurs du secondaire de l'Education nationale.

      • Chapitre II : Personnel enseignant Article 7

        En fonction des besoins, le Gouvernement de la République tunisienne sélectionne et rémunère les enseignants tunisiens titulaires des cadres du ministère tunisien de l'Education. Ces enseignants disposent des compétences pédagogiques et linguistiques nécessaires à l'enseignement de l'arabe en France.

        La mission de ces enseignants est une mission limitée dont la durée est définie par les Parties. Ces enseignants bénéficient des dispositions mentionnées dans la Convention de sécurité sociale entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République tunisienne signée à Tunis le 26 juin 2003, ainsi que de l'avenant n° 1 à cette convention signé à Tunis le 4 décembre 2003.

        Concernant les enseignants locaux en poste à la date de la signature du présent accord, leur situation peut être examinée par les académies où ils exercent, afin de leur proposer les solutions de contractualisation qui peuvent leur être ouvertes, en fonction des besoins des académies et dans le respect de la réglementation française en vigueur.

        Article 8

        A leur arrivée, les enseignants sélectionnés par la Tunisie font l'objet d'une présentation aux autorités françaises par les voies administratives régulières, conformément à la législation française et au droit de l'Union européenne en vigueur ainsi que dans le respect des engagements internationaux de la France.

        Article 9

        Les enseignants tunisiens présentés par leur Gouvernement sont affectés en accord avec les autorités tunisiennes, mention étant faite des écoles où ils ont à effectuer leur service.

        Article 10

        Les enseignants tunisiens sont intégrés aux équipes pédagogiques après installation par l'inspecteur d'académie-directeur académique des services de l'éducation nationale, avec l'accord de l'ensemble des administrations françaises intéressées. Ils sont soumis aux lois et règlements en vigueur dans les écoles où ils exercent.

        Article 11

        Les corps d'inspection français et tunisien assurent conjointement le contrôle pédagogique des personnels enseignants tunisiens exerçant dans les écoles françaises.

        Par ailleurs, la Partie française facilite, dans la mesure du possible, la participation des enseignants tunisiens aux actions de formation organisées à l'intention du personnel enseignant français, notamment dans le domaine de l'enseignement des langues vivantes étrangères. La Partie tunisienne propose aux enseignants tunisiens des actions de formations relatives à l'enseignement de la langue arabe comme langue étrangère.

      • Chapitre III : Dispositions générales Article 12

        Le présent accord abroge l'accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République tunisienne concernant la coopération dans le domaine de l'enseignement pour les élèves tunisiens résidant en France, signé à Paris le 12 mars 1986. Cette abrogation ne remet pas en cause les actions en cours sous l'empire de l'accord susmentionné.

        Article 13

        La mise en place de cet enseignement est assurée par les autorités françaises en coopération avec les autorités tunisiennes compétentes.

        Article 14

        Les Parties encouragent la coopération directe en matière d'échanges de documents pédagogiques, de formation du personnel enseignant et toute action concourant à l'amélioration de la qualité des enseignements dans le respect de la législation française et le droit de l'Union en vigueur.

        Article 15

        Pour assurer la bonne application de cet accord, un groupe de travail franco-tunisien est créé. Il a pour mission d'examiner les questions relatives :

        - à l'application générale de l'accord ;

        - à la mise en œuvre de la coopération pédagogique ;

        - aux conditions d'organisation des enseignements et à la préparation des rentrées scolaires ;

        - à la mise en œuvre du contrôle pédagogique conjoint mentionné à l'article 11 du présent accord.

        Il se réunit à Paris en tant que de besoin et au moins une fois par an pour préparer la rentrée scolaire.

        Article 16

        Tout différend relatif à l'interprétation ou à la mise en œuvre du présent accord est réglé par voie de consultation ou de négociation directe entre les Parties.

        Article 17

        Chacune des Parties notifie à l'autre l'accomplissement des procédures constitutionnelles requises en ce qui la concerne pour l'entrée en vigueur du présent accord qui prend effet le premier jour du second mois suivant la réception de la dernière notification.

        Le présent accord est conclu pour une durée illimitée. Chaque Partie peut le dénoncer à tout moment par notification écrite adressée par la voie diplomatique à l'autre Partie. Cette dénonciation prend effet six mois après sa date de notification. La dénonciation de l'accord ne remet pas en cause l'exécution des actions en cours au titre de l'accord, sauf décision contraire des deux Parties.

        Les Parties peuvent apporter, par la voie diplomatique et d'un commun accord, des modifications au présent accord. Ces modifications font partie intégrante du présent accord et entrent en vigueur conformément à l'alinéa 1er du présent article.

        Fait à Tunis, le 31 mars 2017, en deux exemplaires originaux, en langues française et arabe, les deux textes faisant également foi.

        Pour le Gouvernement de la République française : Najat Vallaud-Belkacem

        Ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche

        Pour le Gouvernement de la République tunisienne : Néjï Jalloul

        Ministre de l'éducation


    Fait le 30 avril 2020.


    Emmanuel Macron


    Par le Président de la République :


    Le Premier ministre,


    Edouard Philippe


    Le ministre de l'Europe et des affaires étrangères,


    Jean-Yves Le Drian



    (1) Entrée en vigueur : 1er avril 2020.


    orientation étrange ...

  • Pour la dépénalisation des maires, cela se justifie. Les Maires n'ont pas envie de subir les plaintes dû à la mauvaise gestion du Gouvernement.

    Sauf que du coup, tout le monde qu'ils assument, mais personne ne payera la mauvaise gestion :D


    Je dis pas que les maires doivent payer l'addition : ils n'en sont pas responsables ... Mais j'adore ces politiques qui comme d'habitude, disent qu'ils assument mais s'en sortiront avec rien :D

  • c'est un scandale, hélas un de plus.


    60% des élèves n'arrivent pas à lire et écrire correctement le français...

    Déconstruction, déstructuration, anéantissement de ce qui permet de faire nation.


    Je ne critique pas la langue en elle même mais le choix fait de communautariser davantage ce qui empêchera de faire corps ... D'ailleurs la Tunise est gouvernée par la mouvance des frères musulmans (sous influence US et israélienne) ce qui risque également d'intensifier le clivage avec un certain islam politique qui ne souhaite pas intégrer notre nation.


    Je précise "nation" (à mon sens) : les gens qui vivent sur le territoire, les ethnies dont une en général majoritaire et qui décident du consensus à appliquer en terme de gouvernement, ce que l'on nomme état. La nation est souvent de fait associée à la "patrie" au sens noble "la terre des pères" au sens ou ce qui est défendu est la tradition. Celle-ci à toujours évoluée en fonction des peuplements mais l'attachement bien que différent est et reste le même. Personne ne souhaite que ses enfants vive dans un pays ou la guerre fait rage ...


    Ainsi en France nous avons des "Gaulois", noirs, berbères, polonais ... en fonction de l'origine de leurs parents ou grands parents.


    La société et sa gouvernance se sont vu compliqués de tout temps par la volonté de contrôle de certaines part des peuples (au travers de partis ou d'associations tels les FM ou les banquiers commerçants) qui par l'histoire ont acquis beaucoup d'influence par l'économie, la guerre ou la manigance politique.


    Nous vivons actuellement une période ou tous nos repères sont battus en brèche par une de ces parts, voire occupé par diverses intelligences étrangères qui ont pour dessein notre atomisation et celle de l'ensemble des nations en général. Tout ceci est théorisé et je fournirai les liens a qui les demandera.


    C'est le globalisme associé au transhumanisme et à toutes les théories sociétales. La finance internationalisé a besoin de consommateurs pas de patriotes, ni d'intellectuels ou de partisans ...

  • Sauf que du coup, tout le monde qu'ils assument, mais personne ne payera la mauvaise gestion :D


    Je dis pas que les maires doivent payer l'addition : ils n'en sont pas responsables ... Mais j'adore ces politiques qui comme d'habitude, disent qu'ils assument mais s'en sortiront avec rien :D

    " Le responsable, il est devant vous. Qu'ils viennent le chercher ! "


    *se réfugie en vitesse derrière la Constitution ( et cinquante gardes du corps )*

  • c'est un scandale, hélas un de plus.


    60% des élèves n'arrivent pas à lire et écrire correctement le français...

    comment ça un scandale de plus. tu peux développer ?

    c'est le fait qu'en primaire on enseigne des langues étrangères ? ça fait plus de 20 ans que l'option langue étrangère en primaire existe en France...

    que les élèves ne sachent plus lire et écrire correctement n'a rien a voir avec ce sujet.