Posts by Padicy

    Padicy est en grève c'est une agricultrice

    Le gasoil est trop cher pour aller manifester et cela mettrait encore de l'argent dans les caisses de l'état avec les taxes.


    Période de chasse oblige, je préfère passer mon temps à traquer le léporidé.


    Que c'est bon, le pâté de lapin de Garenne ou le civet de lièvre avec une pointe de Cognac.


    :strou:

    La DER des DER… !!



    En 1970, en proie à des soucis financiers et à la disparition de sa jeune héritière, le Palais de la Méditerranée vivait ses dernières heures, le grand casino de la promenade des Anglais allait fermer définitivement ses portes.


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    Sous un ciel bleu azur, par plus de 30 degrés, Zanichou alias Tortank flânait sur la promenade des Anglais.

    Il profitait des rares espaces d’ombre fournis par les palmiers.

    Malgré une légère brise marine, la chaleur était étouffante.


    Nonobstant son teint hâlé, Tortank craignait les coups de soleil, voire l’insolation.

    Sur le chemin du retour, il craqua.

    Quoi de mieux que le casino pour se mettre à l’abri de cette chaleur niçoise,

    profiter de la climatisation et une dernière fois du tapis vert.


    Après avoir montré patte blanche à l’hôtesse, Tortank se dirigea vers les salles de jeux.

    Apparemment, il n’était pas le seul à avoir eu cette idée.

    La salle des machines à sous était comble.

    Il traina dans les allées tout en regardant si des machines avaient été généreuses.

    Le bruit qu’elles engendraient était couvert par un brouhaha fatiguant à la longue.


    Plus loin, il fit le tour des tables de blackjack, aucune chaise de libre.

    Il ne restait que la salle des amateurs de poker, un endroit où il régnait en général un silence de mort.


    Il y avait six tables de 6.

    36 joueurs comme le nombre de cases à la roulette.

    Ces places étaient numérotées de 1 à 36, les croupiers ayant le numéro 0.

    Les places marquées permettaient sûrement d’identifier les individus en cas de triche.


    Il ne restait qu’une place à une table.

    Il demanda au croupier s’il pouvait s’y installer.

    Après avoir posé ses fesses au fond du fauteuil drapé de velours ciselé rouge flamboyant, Tortank reconnu un gars qu’il avait vu auparavant dans la salle des machines à sous,

    disons qu’il avait remarqué juste avant la blonde plantureuse qui se tenait derrière lui.


    L’homme était très exubérant devant sa machine à sous.

    Il se moquait de son entourage, vociférant comme s’il était seul dans la pièce.

    Il insultait la machine quand elle ne donnait pas.

    Quand sa copine voulait jouer, il la repoussait, lui parlant même un peu limite.

    A chaque baisser de levier, c’était toute une mise en scène un peu grotesque.


    Tortank se dit mais pourquoi, pourquoi moi.

    La partie risquait de ne pas être de tout repos.


    La tradition voulait qu’avant le début d’une partie, tout le monde se présente.


    Le tour de table commença par le croupier, Mélionidas puis Chocapic, Hydrox, Tortank,

    BombeIT, Warzif et Toxicogame.

    Notre agité se faisait donc appeler Toxicogame.


    Malgré la lumière artificielle, tous portaient des lunettes de soleil, cachant ainsi leur yeux et leurs émotions.

    Il ne leur restait plus qu’à maitriser les expressions de leur visage.


    Les premiers tours étaient comme des rounds d’observations.

    On observe un maximum ses adversaires.


    Tortank aimait pousser le bluff à son paroxysme.

    Il maitrisait à la perfection les micros rictus sur son visage.

    Un frétillement subtil et très court du coin de la lèvre quand il avait du jeu, un gonflement léger des narines quand il n’en n’avait pas.

    En dehors de ces moments, son visage restait impassible.


    Tant qu’il n’avait pas laissé trop de plumes, il cassait volontairement son jeu.

    Une première main avec un full aux valets par les as, Tortank demandait 2 cartes, sa main devenant ainsi juste une paire de valets.


    Toxicogame était un joueur acharné surfant sur la vague de chance qui l’avait porté sur les machines à sous.

    L’homme prenait de plus en plus confiance.


    Un petit rictus par ci, un autre par là, Tortank mettait en place sa stratégie.

    Il évitait la confrontation directe avec toxicogame.


    Après deux heures, d’un silence somme toute relatif, le croupier demande à toxicogame de se calmer sous peine de devoir quitter la table.

    Chose qui lui paraissait impossible vu la somme qu’il venait de prendre à Tortank.


    A un moment, Tortank remarqua que la blonde le regardait avec un léger sourire.

    Il releva légèrement la tête pour lui montrer qu’il l’avait vue et lui rendit son sourire.

    Ce moment d’égarement passé, il replongea dans sa partie.


    Derrière les verres fumés, ses yeux observèrent la blonde.

    Elle matait le jeu de son compagnon et avait des expressions bien moins dissimulées.

    Toxicogame très en confiance ne se souciait pas de ce genre de détail.


    Un peu de jeu, un petit peu de bluff et l’aide involontaire de la demoiselle, la mise à mort allait être terrible.


    Tortank esquissa un rictus plus appuyé que d’habitude.

    La partie se termina par une victoire.

    Toxicogame pensait avoir bien reçu le message, un rictus plus ou moins appuyé correspondait au niveau de jeu de Tortank, il en était quasiment persuadé.


    Quelques parties plus tard, Tortank regarda sa montre plusieurs fois, comme s’il était pressé.

    Tortank jeta les 2 coeurs et demanda 2 cartes.

    Il esquissa un minuscule rictus, sa main était toute noire.


    De son coté toxicogame restait impassible mais la demoiselle moins, un très léger sourire avait pris forme sur son visage un cours instant.

    Tortank se dit qu’il avait un peu de jeu mais sans plus.


    Il regarda sa montre à nouveau avant de miser un peu plus que d’habitude.

    toxicogme suivit, Chocapic aussi.


    Après une longue période d’attente, d’hésitation sensible, Tortank tourna la tête vers sa Rolex.

    Elle affichait 19 heures 50 et 43 secondes, il était temps de sonner le glas.


    Tortank relança à nouveau.

    Il paraissait pressé regardant à nouveau sa montre, comme si une bombe devait éclater imminemment.


    Toxicogame se dit que son adversaire allait quitter la table,

    qu’il était temps pour lui de le saigner, son full aux rois par les as allait faire l’affaire.

    Toxicogame poussa son mont de jetons sur la table.

    « Tapis »


    Chocapic se coucha, s’était trop pour lui.

    Tortank suivit.


    Il était maintenant l’heure de dévoiler son jeu.


    Toxicogame retrouva son exubérance annonçant à voix haute :

    « Full aux rois par les as. »


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    Tortank posa délicatement ses cartes sur le tapis vert.

    « Quinte flush royale »


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    Toxicogame laissa éclater sa furie, criant au vol, à la tricherie.

    Le croupier lui demanda de se calmer.


    Tortank serein, ramassait sa montagne de jetons et refermait le sac que le croupier lui avait préalablement tendu.


    Il retira ses lunettes et fixa la blonde.

    Il lui lança un sourire en guise de merci pour ton aide.

    La blonde lui rendit.


    Sans réfléchir, il lui tendit la main.

    La robe moulante en soie se mut et la demoiselle prit le bras de Tortank.

    Ils quittèrent le casino sans même se retourner.

    A quelques mètres derrière eux, toxicogame sortait lui aussi trainé par 2 colosses.


    Ils se recroiseront peut être un jour dans un autre casino.




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    Dédicaces :


    A Padivieux

    Aux trolls

    Aux FARMs

    A nos deutiers


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    BR au défenseur


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    Le défi !



    A l’approche de la fusion, les discussions allaient bon train dans la taverne des FARMs.

    Et cela devait être la même chose dans toutes les alliances.

    « Chacun choisit un univers correspondant à ses préférences de jeu, ou bien, on reste tous unis pour le meilleur et pour le pire. »


    Si les mariés de l’instant présent étaient d’accord pour faire route ensemble, il restait néanmoins le choix crucial de l’univers.


    Avec les grandes vacances, l’activité de chacun était plus ou moins soutenue voire régulière.

    Les dames de ces messieurs appréciant plus ou moins de voir leur mari les yeux rivés sur l’écran de leur smartphone au lieu de surveiller leurs progénitures.

    D’autres, célibataires endurcis, n’avaient pas ce souci à gérer.


    Un soir tard, lorsque femmes et enfants récupéraient après une journée passée au grand air, Zan, Adar, LaFee, Nobody, Le Mulet et Salacious se retrouvèrent pour un vocal sur Discord.

    Le sujet du jour était bien évidemment la fusion.


    Zan lança :

    « On peut rester encore un peu actifs avant la fusion, elle vient d’être repoussée mais on ne sait pas pour quand. »


    Adar surenchérissait :

    « Repoussée et c’est peut être pas fini, ils sont trop fort la GF, comme si c’était leur première fufu. »


    LaFee (pas de miracles) lança contre toute attente :

    « Qui serait partant pour un défi ? »


    Le Mulet :

    « Ca consiste en quoi ? »


    LaFee :

    « C’est là que cela se corse. Celui qui est ok, accepte, et je donne le défi après. »


    Les micros restaient muets, un silence de plomb s’installait.

    D’un côté c’était tentant, d’un autre cela pouvait être l’arnaque.


    Et d’un seul coup un « Moi » résonna.


    LaFee :

    « Qui a dit moi ! »


    « Moi !! C’est Salacious. »


    Nobody ne put s’empêcher de le chambrer :

    « Tiens notre campagnard, se réveille ! »


    « Suis pas un campagnard, eu égard à mon allure.

    Et là je suis posé sur le bord de la piscine sur les haut de Cassis.

    J’entends les cigales chanter. »


    « Bon voilà le défi que tu viens d’accepter.

    Tu as jusqu’à la fin du mois soit à peu près une semaine pour réaliser un HOF suite à un MB.

    En cas d’échec, tu devras pull tous les joueurs de l’ally moins bien classés jusqu’à la fusion. »


    Salacious :

    « Ok, je relève le défi.

    Bon sur ce, je vous laisse j’ai du pain sur la planche. »


    Salacious s’était mis immédiatement au travail.

    Il a commencé par espionner les flottes de ses adversaires, cherchant une cible vulnérable.

    Après plusieurs heures de recherche, il a repéré une flotte appartenant à un joueur moins bien classé, "R3aper199".

    Il lui fallait prendre le temps d’observer sa cible, bien l’observer s’il ne voulait pas rater le défi.

    Le jour J était enfin arrivé.

    Vers minuit, il déposa un court message sur le didi des FARMs.

    « Aucun spy sur R3aper, merci »


    Rollo qui était en opération sur Undae et qui parcourait les discords pour tuer le temps :

    « Serais tu en train de relever ton défi. »


    « Va savoir… »


    Salacious lança son attaque tard dans la nuit, pas moins de 6 vagues de RIPs, au moment où R3aper199 était le moins actif.


    Pour passer outre la défense sur la planète, il avait décider d’envoyer que des destructeurs.

    Un million de destructeurs feraient l’affaire, un million tout rond, ça pète.


    Le cœur battant, Salacious surveillait le compte à rebours.

    Le moment fatidique arrivait.

    Boum…. La déflagration a du secouer tout l’univers.

    La première vague de RIPs avait rempli sa fonction à merveille.

    Le lune avait sauté.

    Salacious stoppa les 5 vagues suivantes.


    Désormais c’était aux phalanges d’entrer en action.

    La flotte de R3aper apparaissait sur les radars, en même temps qu’un large sourire qui illuminait son visage.


    Il ne restait plus qu’à remplir les réservoirs des destructeurs et go vers la planète.

    La minuscule défense allait sauter à son tour sous la pression des destructeurs.


    Si l’on devait comparer les destructeurs à des animaux cela serait des tatous ou des rhinocéros, des mammifères d’un autre temps, dotés d’une épaisse carapace.


    La main tremblante, Salacious enfonça la touche de la souris.

    Les destructeurs étaient en route vers la victoire, et au revoir les pulls qui lui auraient coutés un bras.

    Il commençait à se faire tard pour ne pas dire tôt, très tôt.

    Les yeux de Salacious commençaient à piquer.


    Le pchittt de la dernière Redbull résonna.

    Il ne restait plus qu’à attendre.


    5 minutes avant l’impact la planète mère de R3aper199 s’illumina.

    Le bonhomme était connecté juste à temps pour voir disparaitre sa flotte sans pouvoir rien faire.


    Le gros crash arriva.

    Salacious imagina les débris flottant autour de la planète, ses cyclos entrant en action dans une immense procession.


    R3aper venait de vivre un HOF en direct mais du mauvais côté, il avait déjà subit ce genre de sentiment quand Salacious l’avait HOS par 2 fois.


    Salacious déposa le rapport Ogotcha sur le didi de La Ferme Des Animaux sans triomphalisme.


    Les GG affluèrent sans commentaires.

    Ils avaient compris qu’il n’y aurait pas de pull cette fois-ci.


    Padicy matinal comme à son habitude, félicita et échangea quelques mots avec le héros du jour.


    « Merci »

    Répondait Salacious

    « Mais il faut que j’aille dormir »


    « Bonne nuit et n’oublie pas de ghost. »


    Dans la matinée, LaFee après avoir félicité Salacious reconnut son manque de confiance envers lui :

    « Bravo à toi, je ne pensais pas que tu arriverais à relever le défi, je voulais me faire pull, c’est raté. Bravo encore. »



    Tout ceci n’est bien sûr qu’une fiction.

    Rollo en opération cela se saurait !

    RPiste en quête d’ally avec de vrais HOF…


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    Dédicaces :


    A la FARM

    A scorpinou

    A nos deutiers

    A Padicy, la plume de Mathilde

    A la fusion toujours plus proche.


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    Pas de nouvelles du défenseur, BR à lui.


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    Le PARRAIN !



    Dans les ruelles sombres de Barbès où la loi du silence règne, un parrain de la drogue, connu sous le nom de "Tahmagotchi", avait bâti un empire redouté.

    Avec des connexions s'étendant des quartiers défavorisés aux quartiers chics,

    il avait su s'imposer comme le roi du trafic.

    Cependant, sa position était mise à mal de temps à autres.


    La première fois que Tahmagotchi avait été volé, ça remontait au 1 mars 2023.

    Il avait pris cela comme un avertissement.

    Un groupe rival avait réussi à infiltrer son réseau, dérobant une partie de son stock dans un entrepôt mal gardé, 3 kilos volatilisés.

    Bien que la perte ait été significative, il avait rapidement réagi, renforçant la sécurité et éliminant les traîtres.

    Il avait fait couler le sang pour montrer qu'il ne tolérerait aucune trahison.

    Mais cette première attaque n'était qu'un prélude à quelque chose de bien plus grave.


    La deuxième fois, la situation était différente.

    Tahmagotchi avait investi dans des mesures de sécurité avancées, mais cela n'avait pas suffi.

    Une nuit, alors qu'il se vantait de sa puissance lors d'une réunion avec ses lieutenants, son stock a été dérobé sous son nez, 308 kilos cette fois-ci.

    C’était pas plus tard que le 21 juin 2024.

    Les voleurs, agissant avec une précision chirurgicale, avaient laissé derrière eux des indices qui ne menaient nulle part.

    Cette fois, la peur s'était installée dans la tête de ses hommes.

    Qui pouvait bien être derrière ces attaques ?


    Les rumeurs d'une organisation secrète ont commencé à circuler.

    Des hommes masqués, des opérations menées avec une efficacité déconcertante, des cibles choisies avec soin.

    Tahmagotchi avait compris qu'il ne s'agissait pas d'un simple groupe rival, mais d'une entité bien plus puissante,

    capable de déjouer tous ses plans.

    Il avait engagé des détectives privés, des informateurs,

    mais chaque piste semblait se perdre dans l’ombre.

    La paranoïa s’était installée, et il voyait des traîtres partout.

    Tahmagotchi avait commencé à craindre pour sa vie et celle de sa famille.


    Il avait élu domicile dans le quartier très huppé du Gros Caillou de la capitale.

    Il s’y sentait en sécurité jusque là.

    Il n’y avait pas de racaille.

    La police était omniprésente.


    Il avait un fils de 13 ans, François-Xavier.

    Le gamin allait dans une école privée à quelques encablures du domicile.

    A l’école, François-Xavier avait très vite été abandonné pour FX ou Ephx pour passer incognito.

    Cela faisait moins ringard, plus moderne.

    Il aimait reprendre ses parents en leurs disant qu’il préférait FX, ce qui avait le don de les énerver.


    Le 24 juillet 2024, Tahmagotchi ne tenait pas en place.

    Ses hommes l’avaient trouvé particulièrement excité, énervé.


    A midi, Tahmagotchi appela LeChacal son homme de main.

    « Bon, je dois partir, je compte sur toi.

    Je vais à la maternité. »


    « Ah bon ? Ta femme est enceinte ?? »


    « Non, non, c’est ma soeur !

    Je vais être parrain… »


    Sans plus attendre, Tahmagotchi laissa LeChacal en plan, sans consignes particulières.


    De retour auprès de ses hommes, LeChacal leur raconta ce qu’il venait de vivre.

    Les commentaires et les rires y allaient de bon train.


    « Il va à la maternité, mais c’est n’importe quoi, c’est pas lui le père. »

    « Imagine si c’était lui le père, il ferait lui même l’accouchement… »

    « Allez madame, écartez bien… »

    « Vas savoir, c’est peut être lui le père… »

    « Dis pas ça devant lui, il va te faire la peau. »


    Tahmagotchi tapotait sur son volant, la circulation était très dense aux abords de la Seine.

    Il n’avait pas d’autres choix que de la traverser pour rejoindre la clinique des femmes depuis Barbès.

    Il commençait sérieusement à en avoir marre de ces préparatifs pour la cérémonie des jeux olympiques.

    Paris était complètement paralysé.

    A deux pas du champ de Mars, cela allait être coton pour se garer pas loin de la clinique.


    De son côté, LeChacal avait rassemblé les hommes, armés jusqu'aux dents,

    prêts à défendre leur territoire.

    En l’absence du patron, ils étaient sur le qui-vive, ils avaient encore en mémoire ce qu’il était arrivé par le passé.


    Mais alors qu'ils patrouillaient, une alarme retentit.

    Les voleurs étaient là, plus audacieux que jamais.

    En quelques minutes, ils avaient neutralisé la sécurité et accédé au stock.

    LeChacal ne put que constater les dégâts.


    Le local était vide, seul un smartphone posé sur une chaise passait en boucle une chanson.



    De retour de la maternité la joie qui envahissait Tahmagotchi, l’abandonna dans la seconde.

    Tahmagotchi était fou de rage ; ils avaient tenté de les poursuivre, mais ils avaient disparu dans la nuit, comme des fantômes.

    Cette fois, la perte était catastrophique, 140 kilos, et la réputation de Tahmagotchi était en jeu.


    Face à cette humiliation répétée, Tahmagotchi comprit qu'il était temps de changer de secteur d’activité, il n’était plus craint.

    Il s’installa quartier du Sentier et ouvrit un magasin de textiles en tous genres.

    Il allait se ranger des affaires et devenir un marchand respectable.



    Traduire les kilos en G (cdr)



    Pour le plaisir (ou pas)


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    Dédicaces :


    A la ZAD et aux FARM

    Aux deutiers

    Aux TROLLS

    Au RPiste


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    BR au défenseur


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    Histoire cochonne !



    « Mayday, Mayday »



    « Mayday, Mayday »


    L’appel à l’aide de GogetaZ restait sans réponse.


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    GogetaZ ressaya :

    « Mayday, Mayday »


    Riley le roi des cochons de l’espace ne répondait pas.


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    Le temps pressait.

    Lilith la reine des sorcières venait lui rendre visite.


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    Soit il évacuait, il avait du temps devant lui pour cela,

    soit il trouvait un allier de dernière minute suffisamment fort pour botter le cul à Lilith.


    Mais rien y faisait, la radio porcine restait muette, pas un cochon, pas l’ombre d’un cochonne à l’horizon.

    Les temps était durs pour GogetAZ, les temps…


    Il avait entendu parler des exploits de la Ferme des Animaux, la FARM et de son bras armé, la ZAD.


    Les ZADistes avaient pour réputation de défendre avec virulence les causes pour lesquelles ils adhéraient.


    Le choix de GogetaZ se porta sur HabaDakor :


    « GogetaZ appelle HabaDakor, Mayday, Mayday »


    HabaDakor mit quelques secondes à réagir et à répondre.

    Comme à son habitude, une couette sur les épaules, HabaDakor émergea :


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    « Oui, ici HabaDakor »


    « C’est GogetaZ des porQ, j’aurais besoin de ton aide. »


    « Que puis je faire pour un petit cochon ? »


    « Lilith m’attaque, soit je me sauve, soit on lui botte les fesses à deux si tu en es d’accord. »


    « Ok, ça me tente bien ton histoire, juste le temps de me préparer et je suis à toi.

    Je suis à toi, je veux dire je serai prêt, hein ! »


    « Oui pas de souci. »


    Comme prévu quelques minutes plus tard, HabaDakor était prêt.


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    Il contacta GogetaZ :

    « T’es là. »


    « Oui, voila »


    « Elle arrive avec quoi ? »


    « 550 K de traQ puis une vague d’éclaireurs à 6 secondes »


    « Ok je me cale à -1s »


    Il restait maintenant à attendre.


    HabaDakor ouvrit le micro.

    « Une histoire cochonne pour passer le temps ? »


    « Allez vas y »


    « Quel est l’animal le plus coquin ? »


    « Je sais pas. »


    « Le porc parce que sa femme est cochonne. »


    « C’est malin… Bon allez je regarde où on en est ! »


    « T’as des cyclos »


    « Oui mais pas en nombre suffisant, je pense de toute façon qu’il va passer avant. »


    « On verra bien »


    Le moment du choc arriva.

    La lune fût secouée comme si deux bombes atomiques venaient de la frapper à quelques secondes d’intervalle.

    Le temps d’un court instant, on put apercevoir un champ de ruine en orbite.


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    Les cyclos des deux camps balayèrent tous les débris.

    Lilith sauva les meubles si on peut dire.


    L’association GegetaZ / HabaDakor fût un réel succès.

    Allaient-ils pour autant devenir copains comme cochon ?


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    BR au défenseur

    A noter le fair play de Lilith.

    Un joueur comme on aimerait en croiser plus souvent.


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    La guerre aux clones !



    Nombre de tueurs à gage avaient laissé leur vie en voulant éliminer Palpatine.


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    Le seigneurs des Sith maitrisait le coté obscur de la force au point de le rendre quasi invincible.


    Deux choses le hantaient.

    La première était de perdre ses pouvoirs qui lui conféraient une puissance diabolique

    et un ascendant indéniable sur ses adversaires et pas que.

    La deuxième était de finir comme son maître assassiné pendant son sommeil.


    Ce souvenir le hantait.

    Chaque nuit, il revivait l’instant où son sabre laser tranchait la gorge de son maitre Dark Plagueis.

    La prophétie voulait jusque là, de génération en génération, que le maître soit tôt ou tard éliminé par son propre apprenti.

    Pour anticiper ce jour, Palpatine utilisa le Transfert d’essence que lui avait offert son maître, pour se cloner.

    A sa mort, il investirait un nouveau corps à son image et ainsi de suite.


    Loin de Naboo, Han Solo qui était sur Coruscant, devait faire face à des réparations couteuses sur le Faucon Millenium.


    Coruscant

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    Avec ses activités de contrebande, il allait mettre des années lumières pour rassembler la somme nécessaire.

    C’est pourquoi, il acceptait ici et là des missions en tant que chasseur de primes.

    Il partit à la recherche d’un des clones de Palpatine.

    Un seul avait la puissance de Palpatine, la malchance aurait été de tomber nez à nez avec celui-là.

    La capture ou l’extermination d’un clone allait lui rapporter des millions de Peggats, de quoi largement couvrir ses frais.

    Ses informateurs lui avaient indiqué que Palpatine avait été vu sur Naboo, sa planète natale.


    Naboo

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    A quelques dizaines de parsecs, sur Tatooine, Boba Fett se préparait à traquer lui aussi Palpatine.


    Tatooine

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    Il avait reçu à quelque chose près, les mêmes informations qu’Han Solo.

    Le célèbre chasseur de prime à l’armure en beskar, collectionnait les primes.

    Les stigmates sur celle-ci laissaient imaginer la violence des combats menés.


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    La petite taille de son Slave I permettait à Boba Fett d’attaquer les positions de Palpatine sans se faire repérer.


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    Il aurait pu prendre le commandement d’un destroyer stellaire Venator, un vaisseau rapide lourdement armé mais qui ne passe pas inaperçu.


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    Arrivé sur Naboo, Boba Fett commença les missions de reconnaissance.

    Il lui fallait avoir le plus d’informations possible et surtout des informations fiables.


    Lors de ses missions de reconnaissance, il s’aperçut qu’apparemment il n’était pas le seul à s’intéresser aux positions de Palpatine.

    Il venait de repérer le héros désormais célèbre dans la galaxie,

    en la personne d’Han Solo depuis son sauvetage de la princesse Leila.


    A quelques kilomètres de là, il décela la présence du Faucon Millenium.


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    Cette situation interpella Boba Fett.

    Soit, il la jouait solo au risque d’être devancé par Han, soit il lui proposait de s’allier ;

    la prime était divisée par deux du coup, mais les chances de réussite étaient décuplées.


    Boba Fett opta pour la deuxième solution.


    Il contacta Han Solo :

    « Han Solo, nous sommes apparemment sur la même cible, ici à Naboo. »


    « Oui, j’ai aperçu le Slave I, sans savoir qui était à son bord. »


    « Que penses tu d’unir nos forces. On partage évidemment la prime. »


    « Ca me convient. »


    Les deux hommes coordonnèrent leurs attaques.


    La position du seigneur Sith fût rasée quelques heures plus tard.

    Ils retrouvèrent dans les décombres, la dépouille d’un clone de Palpatine.

    Ils enregistrèrent l’image du cadavre pour preuve.


    Ils retournèrent sur leur planète respective, la moitié de la prime en poche.



    Désolé pour les puristes de Star Wars, j’ai pris la liberté de mélanger un peu les différentes époques voire de déformer l'histoire.

    Ceci n’est qu’une fiction.



    Casting :

    HabaDakor dans le rôle d’Han Solo

    Super Bambi dans le rôle de Boba Fett

    Palpatine dans son propre rôle


    BR au défenseur



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    La chute !



    Le soleil des tropiques brulait les peaux sensibles.

    Il était 14 heures, il n’y avait aucun nuage,

    le temps idéal pour aller siroter un planteur à l’abri des palmiers.

    Garr gara le Ranger juste à coté de l’entrée du Kabana Club.

    Il avait juste deux voitures sur le parking.

    Le mercure affichait 37°.


    Garr approcha du comptoir :

    « Bonjour patron »


    « Bonjour Anthonin »

    répondit le tonton de Juliette.


    « Un planteur ? »


    « Oui, merci »


    Garr attendit son verre, Juliette ne devait pas trop tarder.

    Adossé au bar, les deux coudes en appui, Garr contemplait la mer turquoise.

    Deux silhouettes retinrent son attention, un homme et une fille.


    Il avait tout de suite reconnu Juliette, mais il ne savait pas qui était l’homme,

    il l’avait déjà vu mais …


    « Tiens Anthonin »


    « Vous pouvez me dire qui est avec Juliette, je l’ai déjà vu mais je ne sais plus qui c’est ? »


    Le patron esquissa un grand sourire narquois :

    « Tu l’as certainement vu à la gendarmerie, il est capitaine je crois. son nom, c’est HabaDakor, Emilien HabaDakor. »


    « Ah, ok !! »


    Garr ne savait pas ce qu’il devait faire, partir ? aller dire bonjour à Juliette par politesse et du coup la mettre mal à l’aise ? rester à distance ?


    Il opta pour la dernière solution.

    Il était venu pour la voir mais il pouvait très bien être venu juste pour prendre un planteur.


    Il s’installa de façon à ne pas les regarder directement tout en les surveillant du coin de l’oeil.


    Après quelques minutes, il se dit que l’idée n’était pas mauvaise mais qu’il risquait fort de loucher après cela,

    tant il forçait sur ses yeux.

    Garr eut un coup de chaud quand il vit le mec, cet ennemi, prendre Juliette par la taille.

    Apparemment elle n’offrait aucune résistance.

    Il en fut convaincu quand sa belle métisse, sur la pointe des pieds, approcha ses lèvres du visage du gendarme pour lui déposer un bisou des plus délicats.


    Il y avait toujours eu une rivalité entre la police et la gendarmerie, et cette situation était la promesse que cela n’allait pas s’arrêter de sitôt.


    Le capitaine paraissait d’une grande douceur avec Juliette.

    Il l’aida à s’assoir dans le sable fin et prit la direction du bar.


    Arrivé à hauteur d’Anthonin :

    « Bonjour Lieutenant Garr, comment allez vous ? »


    « Bien merci et vous ? »


    « Très bien je vous en remercie, en charmante compagnie cela va toujours.

    On s’était vu à la gendarmerie, il y a quelques mois, le coup du trafic de drogue sur le bateau juste en face. »


    « Ah oui, effectivement »


    « J’y vais, bonne journée à vous ! »


    « Merci, pareillement »


    Il lui piquait Juliette et il était sympa en plus.


    « Deux planteurs comme d’habitude ? »


    « Oui, merci. »


    Quelques instants plus tard :

    « Tiens voilà. »


    « Merci »


    « Prends soin de la petite. »


    Mais quelle mascarade, Anthonin n’en croyait pas ses yeux, ni ses oreilles.

    Apparemment ce n’était pas la première fois qu’ils se voyaient.

    Et le capitaine avait l’aval du tonton.


    Garr avait le regard rivé sur la plage ou plutôt sur Juliette.

    Elle ne pouvait pas le voir, elle lui tournait le dos.


    HabaDakor tendit le verre à Juliette et s’assit à côté d’elle.

    Après avoir trinqué les yeux dans les yeux, ils échangèrent un baiser.

    A ce moment là, Garr faillit s’étouffer, éclaboussant un peu les personnes devant lui avec la gorgée de planteur qui avait eu du mal à passer.


    Le comble de la moquerie était à son paroxysme.


    Garr décida d’attendre les deux tourtereaux et de dire ses quatre vérités à Juliette.


    Cette scène avait l’air de plaire au tonton, tout sourire en voyant Garr, déconfit, revenir au bar pour commander.


    « Un planteur ?? »


    « Oui, bien tassé !! »


    Il n’avait même pas dit merci, la rage l’envahissait petit à petit.

    Dès le lendemain, il allait demander à rentrer au plus tôt en métropole.


    Il y eut encore d’autres planteurs après, les deux amants enlacés sur le sable à l’ombre d’un palmier n’étaient pas pressés de partir.


    Ce moment tant attendu arriva.


    Le capitaine aida Juliette à se relever et main dans la main, ils s’approchèrent du bar.

    Garr fixait du regard Juliette, les yeux écarquillés, il n’avait aucun battement de paupières comme pour profiter au maximum du spectacle qui s’offrait à lui et se faire mal par la même occasion.


    « Bonne soirée Lieutenant Garr »

    lança le capitaine.


    « Merci, à vous aussi »

    répondit Garr qui avait perdu tous ses moyens à l’approche de Juliette, cette dernière ne disant mot et esquissant juste un sourire en passant.

    Il n’en revenait pas, elle l’avait quasiment ignoré.


    Le regard de Garr les accompagna jusqu’à la voiture du gendarme.

    En plus, il utilisait la voiture de fonction pour venir batifoler sous ses yeux.


    Garr décida d’en prendre un bonne comme il y a quelques semaines.

    « Patron !! Une bouteille !! »


    La bouteille de Bologne arriva sur la table.

    Sans rien dire, Garr se leva et s’éloigna sur la plage.

    18h30, le soleil commençait à faire ses adieux du jour et Garr s’apprêtait à passer une nouvelle nuit sous les étoiles.


    Une heure environ s’était écoulée, la pénombre envahissait doucement les lieux.

    La plage s’était vidée de ses occupants.

    Le clapotis des vagues berçait à nouveau Garr.

    La bouteille de Bologne était pour l’instant planté dans le sable, quasi intacte.


    Les écouteurs vissés dans les oreilles, les yeux rivés vers le large,

    Garr écoutait du Quorthon, un chanteur suédois méconnu.



    Garr vit une silhouette arriver vers lui.


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    Le rhum devait être légèrement allucinogène, il avait l’impression de reconnaitre la silhouette de Juliette.

    Cela ne pouvait pas être elle, elle venait de partir avec la gendarmette.


    Garr retira ses écouteurs.

    Il ne rêvait pas, c’était bien Juliette, un sourire accroché à ses lèvres.


    « Comment oses-tu venir ici ?

    T’es machiavélique, vas t’en ! »


    « Anthonin, laisse moi t’expliquer »


    « Non, c’est bon, y a rien à expliquer.

    J’en ai assez vu et entendu.

    Même ton tonton se moque ouvertement de moi. »


    « Justement c’est lui qui m’a appelée, il avait peur que tu fasses une bêtise. »


    « Il se soucie de moi maintenant ! »


    « Oui, bien entendu.

    On est une famille soudée. »


    Juliette prit son sac à main et en sortit un bout de papier.

    Elle le tendit à Garr.

    C’était une photo.


    Il faisait trop sombre pour y voir quelque chose.

    Garr alluma la lampe torche de son portable.


    Le faisceau de lumière fit apparaitre deux jeunes filles en tout point identiques.


    « C’est Justine que tu as vue cet après midi, c’est ma jumelle. »


    « Euh … »


    « Rassuré le petit policier ?

    Aujourd’hui, je n’étais pas au bar car j’avais cours de sophro.

    Ca t’a fait quoi de me voir sur la plage avec HabaDakor ? »


    « Eh bien, disons que.;. »


    « Un peu jaloux ?? »


    « Un peu ! … »


    Juliette posa ses lèvres sur celle de Garr.


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    « Ca va mieux maintenant ? »



    Garr avait retrouvé le sourire et la joie de vivre.

    Le coeur soulagé, il n’était plus question pour lui de rentrer en métropole.


    Fin de l’histoire avec Garr, avec l’approche de la fusion.


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    Dédicaces :


    A la FARM

    A nos deutiers

    A Padicy

    « Ma longue marche continue,

    les fourmis, elles, continuent de croustiller sous mes bottes »


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    BR au défenseur


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    Transformers la Revanche ou plutôt la revanche du lapin !



    Après la disparition de la race humaine, des Kaeleshs, des Roctas, les Mécas avaient disparus à leur tour,

    laissant place aux canidés qui voulaient imposer leur loi.

    Loups, chiens, renards et chacals avaient formé une coalition visant à exterminer ou soumettre les autres races.

    Les canidés avaient récupéré les technologies des Mécas et les utilisaient à des fins militaires.


    Il y a bien longtemps, notre jeune lapin avait proposé son aide pour repousser les assauts d’un chacal. Mais au dernier moment certains amis avaient rebroussé chemin devant l’ennemi,

    laissant le jeune lapin à un fin certaine.

    Suite à ce combat Triling était meurtri dans ses chairs et psychologiquement atteint, déçu.


    Sa petite amie l’avait persuadé de se retirer des combats.

    Il surveillait de loin ce qu’il se passait dans les campagnes et en ville.


    Quelques mois avaient passé, il y avait toujours des tensions avec les canidés mais cela se passait à peu près bien.


    Jusqu’au jour où les canidés recommencèrent à intensifier leurs patrouilles dans certaines régions.


    Triling se dit qu’il était temps pour lui de repasser à l’action.

    Un soir tard, il se leva sans faire de bruit.

    Après avoir déplacé quelques caisses au fond de la remise, il souleva les lattes du plancher.

    Après avoir écarté le linceul poussiéreux, son exosquelette apparut à ses yeux.

    Il l’enfila aussitôt.

    Triling était empreint d’émotion, pleins de souvenirs remontaient à la surface.

    La batterie devait juste prendre un peu de charge pour qu’il soit 100 % opérationnel.


    Il remit tout en place et retourna auprès de sa belle.

    Comment allait-elle réagir quand il allait lui annoncer son retour sur le devant de la scène.


    Le lendemain, il contacta un brocanteur et lui demanda de lui dénicher d’autres exosquelettes.

    Quelques jours plus tard, Triling repassa voir l’homme.

    Il avait rassemblé péniblement que 4 machines.


    Triling le remercia pour son action pour la bonne cause.

    De retour à la maison, sa femme lui demanda ce qu’il comptait faire avec tout ce barda.

    Pris la main dans le sac, il n’eut d’autre choix que de lui dire ses intentions sans rentrer dans les détails.

    Mère lapine entra dans une furie jamais vue jusqu’à présent.

    Triling se sauva en esquivant tant bien que mal les jets de carottes.


    A l’abri dans la remise, il lança un appel sur SkypeResist, le réseau des résistants.

    Il fut ému par le nombre de volontaires qui se firent connaitre.

    Comme il n’avait que quatre exosquelettes et qu’il ne voulait pas avoir à choisir qui ferait partie de l’opération,

    il prit avec lui les 4 premières tronches qui apparurent.

    Le premier fut HabaDakor, une couette sur les épaules, l’air endormi.


    Triling :

    « Tu fais toujours aussi peur quand on te voit toi !

    Vire moi ta couette et bouge toi, les affaires reprennent ! »


    Il y avait donc HabaDakor, Zan, Salacious et Lafee.

    Les cinq se retrouvèrent pour fignoler le plan de Triling et tester les exosquelettes.

    « Tiens Zan, je te file mon ancien exo, il est encore nickel »


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    Les autres reçurent leur équipement.


    HabaDakor

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    LaFee

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    Salacious

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    Puis Trilling sortit son équipement.


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    Zan siffla Triling comme s’il interpellait une fille sur la plage.

    « Si je ne savais qui était sous ce costume, je te demanderais ton 06. »


    Triling répliqua dans un français bien franchouillart :

    « Moqueu d’gen »


    « Comment ? »


    « Moqueu d’gen »


    Lafee :

    « Ah ! moqueur de gens »


    Salacious :

    « Ca te va bien Zan ! Zan le moqueur »


    Triling :

    « Ouais, à partir de maintenant ça sera Mokujin »


    Ce moment d’égarement passé, Triling leur présenta son plan.

    Il avait repéré un entrepôt désaffecté.

    Il allait y attirer le premier canidé qui passait par là.


    Le lendemain, tout était en place.

    Triling simulait un activité insouciante.

    Les autres était prêts à intervenir, bien cachés et à proximité de la zone de trap.


    Un canidé arriva, lourdement armé.


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    Peu habitué à de la résistance et confiant en sa supériorité, le canidé ne chercha pas à se dissimuler,

    il attaqua de front.

    Juste avant l’impact, il y eut comme une force mystérieuse qui venait s’interposer.


    Il n’y avait pas 1 mais 5 lapins lourdement armés eux aussi, trop lourdement armés pour lui seul.

    Il eut le temps de répliquer mais pas suffisamment pour pouvoir prendre le dessus.


    Encore aujourd’hui, il se demande ce qui a bien pu se passer.


    Non, non, les lapins rancuniers ça n’existe pas ! quoique !


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    Casting :


    Bandy Corona alias Triling dans le rôle de Triling

    Mokujin alias Zan dans le rôle de Zan/Mokujin

    HabaDakor alias Adar dans le rôle d’HabaDakor

    Salacious dans le rôle de Salacious

    LaFee dans le rôle de LaFee


    Tahmagotchi alias La Chacal alias Ephx dans le rôle du canidé


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    BR au défenseur


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    Le raccroc !



    Après une nuit courte, certains joueurs avaient prévus de rester sur Lyon et par la même occasion à l’appart hôtel,

    d’autres trainaient en ces lieux car leur correspondance pour rentrer chez eux était à quelques heures,

    et il y avait aussi des proches de l’étape qui avaient appréciés la nuit ogamienne et qui profitaient encore de quelques échanges.


    Salacious faisait partie du troisième groupe.

    Il avait seulement une heure de route pour rentrer alors il n’était pas une minute près.


    Passé l’euphorie de l’HOF sur Commander Alpha et le mv activé, il était sensé être plus détendu,

    mais il avait passé une grande partie de la nuit sur son téléphone.


    Il était harcelé de messages.

    Ce n’était pas pour le féliciter pour l’HOF sur Commander Alpha mais c‘était sa femme qui terriblement jalouse,

    lui envoyait non stop des messages pour savoir ce qu’il faisait, quand il allait rentrer.


    Ils étaient une quinzaine à quelques encablures du bar.

    La première Paix Dieu piquait un peu au réveil sauf pour nobody qui prenait cela comme du petit lait.


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    Salacious prit Zan à part pour quelques messes basses.

    Les deux hommes revinrent vers le groupe et reprirent le cours des échanges.


    Zan s’approcha de Johnykii et hellking.

    « Comment ça va les gars ? Mes petits frigos ! »

    Toi Johnykii c’était y a au moins 6 mois et toi hellking y a 2 mois environ ! »


    Les 3 hommes avaient une discussion animée, ravivant des souvenirs douloureux pour certains.

    Zan leur dit :

    « Allez les gars c’est ma tournée, ce n’est qu’un jeu. »


    Zan parlait assez fort, attirant d’autres convives.

    Johnykii et hellking étaient devenus en quelques instants l’attraction du moment.


    Salacious était accoudé au bar, les doigts parcourant le clavier de son iPhone.

    La serveuse s’approcha de lui :

    « Vous désirez prendre quelque chose ? »


    Salacious retira les yeux de son écran et regarda la belle blonde qui se tenait devant lui :

    « Oui, s’il vous plait.

    La même chose que ces agités »


    Quelques instants plus tard, elle posa délicatement le verre à coté de lui.

    « Attention, je vous le pose là ! »


    Délicate attention se dit-il de le prévenir.

    Il lui demanda :

    « C’est vous qui sentez si bon ? »


    « C’est mon gloss, c’est goût fraise, vous aimez ? »


    « Il sent bon ! »


    Un bref instant Salacious pensa à sa femme, si elle le voyait, il était mort, pendu haut et court.


    « Vous voulez le gouter ? »

    Dit la serveuse en tendant ses lèvres.


    Salacious avait apparemment un ticket.


    Contre toute attente, Salacious passa son index sur les lèvres pulpeuses et le porta à sa bouche.

    « Effectivement, c’est sympa »


    La serveuse surprise ne dit rien et tourna les talons, piquée à vif.

    Salacious réalisa ce qu’il venait de faire mais trop tard la gazelle était partie furieuse.

    Il avait réagit de manière totalement inconsciente, trop pris par son smartphone.


    Triling qui avait observé la scène, chambra Salacious :

    « Eh ben avec toi le message est clair. »


    « J’ai la tête ailleurs »


    « J’aurais bien gouté à ses lèvres moi ! et pas que … »


    « Mais toi t’es un obsédé, moi je suis amoureux. »


    « Dis plutôt, que tu as peur du chef à la maison »


    « Rien à voir »


    Salacious prit une petite cuillère et tapota son verre, diinngg diinngg diinngg.


    « Bon les gars, il va bientôt être l’heure de partir pour moi. »


    Zan lança :

    « Madame a eut le dernier mot ! »


    « Non, non, j’ai apprécié cette rencontre et je vous offre un verre !

    A l’HOF !! »


    Commander Alpha était parti, c’était dommage.

    La serveuse servait les verres de Paix Dieu.


    Quand le dernier verre fut servi, Salacious reprit la parole.


    « Je porte donc un toast… un instant svp »

    Salacious sortit une fois encore son téléphone, décidément…


    Cette fois ci, il le remit dans sa poche directement, il ne prit pas le temps de répondre.


    « Je porte donc un toast à hellking ! »


    hellking comprit que quelque chose venait de se passer et scruta son téléphone.

    Il n’avait pas vu le temps passer, trop pris dans la discussion avec Zan.


    Il venait à son tour d’être la victime de Salacious.


    Les verres se levèrent une dernière fois.


    La discussion était une sorte de trap en direct.

    Salacious et Zan avaient mené cette opération de main de maitre.


    Salacious :

    « Au fait, j’ai pas reçu un seul message de ma femme !!

    Santé ! »


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    Dédicaces :


    A la FARM

    A scorpinou

    A nos deutiers

    A Padicy, la plume de Mathilde

    A la fusion qui se précise.


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    BR au défenseur (Pas de news)


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    2024 La FARM olympique !


    « A l'occasion de la fermeture de Mathilde et de l'ouverture des JO,

    je vous propose de nous rencontrer à l'appart hôtel Cité Internationale sur Lyon le temps d'une soirée, tarifs modérés.

    Nous nous connaissons sur Mathilde mais je préfère garder l’anonymat.

    Réservations ici.

    Il n'y aura pas de trêve alors pensez à passer en mv »


    Voilà le message que nombre de joueurs de Mathilde avaient reçu.

    Quelques semaines plus tard, l'heure du rendez vous avait sonné,

    les belligérants de Mathilde arrivaient petit à petit.


    A leur arrivée, ils tiraient au sort un numéro de chambre.

    Après s'être installés, ils étaient attendus dans la salle de réception pour une pizza party et faire connaissance.


    L'attraction du début de soirée était Robinos.

    Tous demandaient à voir la Carte Bleue de l'HOmme ou plutôt sa Gold Card.


    Il y avait donc Robinos, Black Drizz, Zan, Chimera, nobody, Blade Trinity, Habadakor et bien d’autres…

    Le maître d'hôtel les invita à tirer un numéro de table, des tables de six.


    Les convives pourraient faire plus ample connaissance en petits groupes.

    Ce tirage allait à coup sûr assurer une mixité dans les groupes, à une exception près.

    Une table était composée de 6 FARM/ZAD, le hasard des choses...


    On pouvait y reconnaître Triling, Mr Bean, Salacious, Habadakor, Zan et nobody.

    La sangria servie depuis le début de soirée avait du succès et déliait les langues petit à petit.


    Zan lança le débat :

    « On a passé du bon temps quand même sur Mathilde »


    Triling :

    « Ouais et elle s’est jamais plaint »


    Mr Bean réagissait immédiatement :

    « Mouais, on peut dire ça »


    Trilling :

    « Jusque ce que tu te fasses plumer par Robi. Ahahah !! »


    Mr Bean :

    « J'ai eu une intervention urgente, un braquage de bijouterie,

    j'ai pas eu le temps de sécuriser et paf »


    Triling :

    « Ouais c'est ça, t'étais plutôt occupé avec une demoiselle et t'as pas vu le temps passer,

    avoue »


    Mr bean :

    « J'aurais préféré, pensez ce que vous voulez, mais c'est vrai !

    Et toi Lapinou ? Trop dur ?? Ca va trop vite pour toi du x1 »


    Triling :

    « C'est pas ça, mais je suis à mon compte et j'avais vraiment trop de boulot,

    suites aux intempéries tout a décalé,

    j'ai préféré stopper que de faire n'importe quoi »


    Mr Bean :

    « Les lapins ça préfère quand c'est rapide : Tactac Pan Dodo »


    Triling

    « Ah celle là, y avait longtemps !!

    Eh Zan tu dis rien ! »


    Zan :

    « Je vous écoute »


    Habadakor :

    « Dis plutôt que tu penses à Juliette »


    Zan :

    « Ah Juliette, j'en rêverais presque.

    Mais bon, il faut que j'hoffe si je veux conclure et les temps sont durs »


    Habadakor :

    « Juliette préfère aussi quand c'est dur ! »


    Zan :

    « Et toi Adar, l'homme qui a hoffé à son insu »


    Habadqkor :

    « N'importe quoi !! »


    Zan :

    « Mouais, tu croyais encore taper un bunker et t’as même pas vu qu'il y avait de la flotte »


    Habadakor :

    « N'importe quoi je te dis, c'était volontaire.

    Bon ok, c'était mon premier HOF solo sur Ogame. »


    Zan :

    « Eh ! Salacious ! T'es avec nous ? »


    Salacious :

    « Ouais, ouais, un truc urgent »


    Nobody :

    « Il écrit à Jabba !

    Il va pas pouvoir le distraire ce soir ! »


    Zan :

    « Tiens ! Le belge qui se réveille.

    C’est pizza ce soir !

    Fais pas la tête, y a pas de frites mais y a de la bière.

    Ca devrait te plaire. »


    Habadakor :

    « Nobody, le roi de la frite au four, encore une histoire belge »


    Tout d'un coup, Commander Alpha se leva et cria :

    « Oh ! L’enfoiré !

    Il est là Salacious ?? »


    Il n'y avait plus un bruit dans la salle jusqu'à ce que :

    « Et bim ! Un HOF en direct mesdames et messieurs !

    Les jeux sont faits, impair et gagne. C'est pour qui le jackpot !!

    C'est recyclé, ça rentre et mv !!


    Salacious avait la banane jusqu'aux oreilles et se dandinait sur place,

    dans une danse bien personnelle.


    Commander Alpha :

    « Bien joué gars, j'ai tenté le diable j'ai perdu »


    La salle se leva et couvrit Salacious d'applaudissements nourris.

    Peu après, le ronronnement des discussions envahissait à nouveau la salle, parsemée ici et là d'éclats de rire.


    Il y eu des changements de table toute la nuit, chacun retrouvant sa chambrée au petit matin.


    Au moment de se quitter, il n'y eut rien à régler.

    Personne ne savait qui était à l'origine de l'invitation et qui avait mis la main au porte monnaie.

    Etait-ce la même personne ?

    Etait-ce Robinos qui avait fait une fois encore parler la Carte Bleue ?


    Les pizzas et le petit déjeuner avaient été préparés par un ancien d'Ogame (se connaîtra-il ?)


    Padicy était absent, trop occupé à écrire ces quelques lignes depuis un transat à Hammamet...


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    Dédicaces :


    A la FARM

    A scorpinou

    A nos deutiers

    A Padicy pour ce RP de qualité


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    BR au défenseur (Pas de news)


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    Le stagiaire !



    Garr commanda une bouteille de planteur au patron.

    « Une bouteille ! »

    « Oui, je vais l’allonger dans le sable, le coucher de soleil devrait être magnifique »


    Pour lui, il n’y aurait pas de resto ce soir.

    Il n’avait pas envie de se retrouver, par le plus pur des hasards, dans le même restaurant que Juliette,

    et être invité à leur table avec « beau papa ».


    « Anthonin ! »


    Garr se retourna, le patron tendait dans sa direction la bouteille.


    « Tenez, c’est offert par la maison, bonne soirée, voire bonne nuit. »

    « Merci à vous. »


    Anthonin… son pédigrée avait tourné sur l’île ou quoi.


    Garr façonna un peu le sable meuble, on aurait dit un canapé ergonomique.

    Confortablement installé, il sirota son breuvage.

    Les palmiers bruissaient sous la caresse des alizés avec en bruit de fond le sac et le ressac des vagues.


    Comme l’avait prédit le patron du Kabana Beach, Garr sombra allongé dans son canapé de fortune sous l’effet du planteur.


    Le nez le chatouillait, foutue mouche.

    C’est dingue, il n’y avait pas moyen de dormir tranquille.


    Cette fois-ci la mouche était très entreprenante.

    Garr ouvrit les yeux.

    Il eut un mouvement de recul quand il découvrit la bestiole.

    Une grosse truffe était à quelques centimètres.


    Son ami du jour était un chien en promenade matinale.

    Après avoir mis un peu de distance avec son visage, Garr le caressa.

    L’animal était tout content, la queue frétillante.


    Garr se releva avec un léger mal de crâne.

    Il se frotta sommairement pour enlever le gros du sable qui s’était incrusté dans ses vêtements,

    puis il ramassa la consigne.


    Le soleil se levait doucement, il n’y avait pas âme qui vive.

    Garr dépose la bouteille sur une table du Kabana Beach.


    Il glissa la main dans sa poche et saisit les clés du Ranger,

    allez hop, une bonne douche et direction le bureau.


    Sous la douche, il ne pouvait s’empêcher de penser à Juliette.

    Où était-elle allée au restaurant avec son père ?

    Qu’avait-elle mangé ?

    Avait-elle aimé ?

    Avait-elle eu, même un court instant, une pensée pour lui ?

    Une demi heure plus tard, il pénétrait dans le commissariat.

    Seule la fille de l’accueil, bien pomponnée comme à son habitude, était présente dans les locaux.


    La journée allait être longue.

    C’était le jour de repos de Juliette et il n’avait pas son 06.

    Il ne se voyait pas non plus le demander à son père.

    C’était un coup à se retrouver dans le premier avion pour la métropole si ce dernier n’appréciait pas la démarche.


    Le téléphone vibra dans sa poche.

    L’appel dura à peine 3 minutes.

    Il avait 24 heures pour se retrouver sur le tarmac de Charles de Gaulle.

    A partir de l’instant présent, il devait éviter toutes communication avec le monde extérieur comme le stipulait le protocole.


    Il fila à son bureau et connecta le PC.

    Il y avait un vol à 17h15 pour Orly et par chance il restait des places, chères mais c’était comme ça.

    Il quitta l’ile sans avoir prévenu Juliette.

    Après deux heures en taxi entre Orly et Roissy, Garr était guidé par les forces de sécurité de l’aéroport.

    Il aperçut un A400M sur le tarmac.


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    D’entrée de jeu, il allait être dans l’ambiance.


    Mais pourquoi cela arrivait maintenant ?

    Garr avait fait une demande de stage commando, il y a bientôt deux ans.

    Dans l’avion, un lieutenant de la légion étrangère les briefa.

    Ils allaient en direction de la Guyane Française à l’endroit même où la légion s’entraine.


    6 semaines, 6 semaines s’étaient écoulées non sans souffrances pour Garr.

    Il venait d’apprendre qu’il était autorisé à reprendre du service en Guadeloupe.

    Il revenait mentalement plus fort, mais le corps meurtri encore pour quelques temps.

    Les cloques aux pieds étaient toujours très sensibles.


    Il allait devoir tout expliquer à Juliette.

    Cette fois-ci, la déception était de mise.

    Guadaloc avait loué le Ranger, il se retrouvait avec une KIA Picanto.

    Il était 20 heures, il faisait déjà tout noir.

    Coté éclairage, la Picanto c’était pas ça.

    Il prit sur lui pour ne pas aller directement au Kabana Beach.


    Le lendemain matin, la préposée de l’accueil était là fidèle à son poste, pomponnée comme à son habitude.


    Il n’y avait encore personne dans les bureaux.

    Garr se replongea dans ses dossiers.


    Il était bientôt midi et toujours personne.

    Le téléphone sonna.


    « Lieutenant Garr, nous avons une urgence »

    « C’est bon, je prends, j’arrive »

    A l’accueil, la fille lui expliqua.


    « Toad a été vu pas très loin d’ici, on vient de nous le signaler. »

    « Toad ? »

    « Oui Toad, le mec se fait appeler Toad à cause du chapeau qu’il porte, vous voyez comme dans Mario Kart !

    Un chapeau en forme de champignon, rouge et blanc.

    Il vend du canabis dans la rue.

    On n’a jamais réussi à le prendre avec des doses sur lui.

    Il les planque dans son chapeau, il parait. »


    Garr entra dans le bar.

    Le gars n’était pas difficile à identifier.

    Il le vit échanger quelque chose avec son voisin.


    Garr arriva dans le dos de l’individu.

    L’effet de surprise allait être total.

    En deux temps trois mouvements, Toad était plaqué contre le bar, menotté.


    Garr retourna le dealer présumé.

    Quelle ne fût pas sa surprise quand il reconnut un de ses collègues.


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    C’est à ce moment que tout le personnel du commissariat arriva dans la salle.

    Des applaudissements soutenus les accompagnaient en félicitation à Garr pour la réussite de son stage commando et pour son retour aussi sur l’ile papillon.

    Le commissaire avait tout organisé en apprenant le retour du métropolitain.


    Après quelques verres, chacun retourna à ses préoccupations.

    Garr quant à lui, prit la direction du Kabana Beach.

    Il lui fallait parler à Juliette.

    Elle l’avait accompagné tout au long de son stage.


    Garr s’installa.

    Après quelques minutes, point de Juliette, la jolie métisse n’était pas là.

    Il alla commander directement au bar et demanda si Juliette allait venir.


    « Juliette n’est pas là. Elle est partie en métropole. »

    « Ah bon ! »

    « Oui, elle a reprit les cours.

    Elle intègre une école de sophrologie, je crois. »


    Garr prit son verre et partit s’assoir, il avait le moral dans les chaussettes.

    Le papillon avait perdu de son charme tout d’un coup.

    Le soleil pourtant si brillant était devenu bien pale.


    Mais pourquoi cet enchainement, qu’avait il fait pour être puni de la sorte.


    Le soleil disparu d’un coup.

    On venait de lui masquer les yeux.

    Quand la lumière revint, il découvrit le visage de Juliette.


    « Mais ?? »

    « Alors comme ça, on s’en va sans dire au revoir !! »

    « J’étais obligé, j’avais pas ton numéro. »

    « Justement le voilà, au cas où ! »

    « Tu n’est pas en France ? »

    « Je viens de rentrer.

    J’ai intégré une école de sophrologie à Vimy à côté d’Arras. »

    « Tu vas repartir donc. »

    « Il faut bien. »

    « Ah ! »

    « Pourquoi cela te gène. »

    « Ben j’aimais bien te voir. »

    « Ah ouais !

    En fait, la plus part du temps je vais prendre mes cours en visio conférence.

    C’est une journée de cours toutes les deux semaines environ.

    Sans la visio conférence, je n’aurais pas pu intégrer l’école,

    cela aurait été trop compliqué. »


    « Tonton !, un planteur s’il te plait.

    Monsieur Anthonin me paye un verre. »


    « Voilà ma chérie.

    Toi ! Je t’ai à l’oeil… »

    Garr avait reçu le message.


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    Dédicaces :


    A Padicy

    Aux deutiers

    Aux FARM/ZAD


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    BR au défenseur


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    T3rrorNunaat , tu peux lui répondre ? Nous on a peur de dire des bêtises :strou:

    ANT


    Quand mère nature n'a pas été gentille avec toi, tu prends un miroir magique et tu lui demandes :
    "Miroir, mon gentil miroir, qui est le plus beau d'Ogame" en espérant que le gentil miroir te réponde :
    "Mais c'est toi mon loulou"...

    Plus sérieusement, c'est quand un allié vient stationner une copie de la flotte du défenseur. Ce dernier déplace la sienne.

    Lors d'un espionnage l'attaquant pense que c'est la flotte du défenseur qui est toujours là.
    Juste avant l'impact, le défenseur rapatrie sa propre flotte et boum...